NON à la peine de mort en Iran !
La peine
de mort ou le châtiment de nature « divine » est inscrit dans la
charia islamique, un corpus juridique moyenâgeux, utilisé par le pouvoir
islamique pour semer la terreur au sein de la population iranienne.
Les
opposant.e.s au régime sont soumi.e.s à des actes de torture et de mauvais
traitements. Elles et ils sont frappé.e.s avec des câbles et subissent des
décharges électriques sur les parties génitales, en vue de les forcer à faire
des « aveux », diffusés à la télévision et autres médias d’État, afin
de les diaboliser et de justifier leur exécution.
Actuellement,
Toomaj Salehi, rappeur iranien engagé et plusieurs d’opposants, dont Mojahed
Kourkour, Reza Ressaï et Abbas Dris, condamnés à mort, risquent à chaque
instant leur vie.
Samedi 11
mai, place du Corbeau, un rassemblement a réuni une quinzaine de personnes qui,
à l’aide de banderoles et de photos, ont voulu sensibiliser les citoyens sur le
sort des opposants iraniens, femmes, chanteurs, cinéastes, ouvriers, étudiants,
enseignants. Les opposants au régime se battent dans des conditions très
difficiles. Les passants ont manifesté beaucoup d’intérêt pour le combat du
mouvement « Femme, vie, liberté ».
NON à la peine de mort, un crime moyenâgeux, un crime d’État, un crime inacceptable !
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